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Depuis 1969, Anne Rosat pratique l'art du découpage s'inspirant à la fois de Johann-Jakob Hauswirth (1809-1871) et d'une longue tradition du Pays-d'Enhaut, elle compose des paysages, des montées à l'alpage, des bouquets de fleurs et des scènes de la vie locale. L'arrangement de ses silhouettes et de ses minuscules papiers de couleur garantissent à ses travaux un effet décoratif. Elle fait l'objet de divers reportages illustrés ou télévisuels. Ses œuvres enrichissent plusieurs collections, dont celles du Musée du Vieux Pays-d'Enhaut à Château-d'Œx, de la Banque cantonale vaudoise, de la Banque vaudoise de crédit ou encore de la Collection suisse de découpage de papier. Anne Rosat relance l'intérêt pour son art dans tout le pays.
Distinguée par le titre de bourgeoise d’honneur de Château-d’Œx et saluée par plus de cent convives, l’artiste voit aujourd’hui la richesse de son parcours récompensée.
De plus, le Fonds Rosat-Colin, qui vient en aide aux enfants défavorisés. Et finalement grâce à une double rencontre. «J’ai découvert le Burkina Faso en 2001 et Aminata Diallo dans la foulée, explique Anne Rosat. Elle enseigne à Bobo-Dioulasso et a créé l’association Maïa en 1994,
http://www.annerosat.ch
Depuis 1969, Anne Rosat pratique l'art du découpage s'inspirant à la fois de Johann-Jakob Hauswirth (1809-1871) et d'une longue tradition du Pays-d'Enhaut, elle compose des paysages, des montées à l'alpage, des bouquets de fleurs et des scènes de la vie locale. L'arrangement de ses silhouettes et de ses minuscules papiers de couleur garantissent à ses travaux un effet décoratif. Elle fait l'objet de divers reportages illustrés ou télévisuels. Ses œuvres enrichissent plusieurs collections, dont celles du Musée du Vieux Pays-d'Enhaut à Château-d'Œx, de la Banque cantonale vaudoise, de la Banque vaudoise de crédit ou encore de la Collection suisse de découpage de papier. Anne Rosat relance l'intérêt pour son art dans tout le pays.
Distinguée par le titre de bourgeoise d’honneur de Château-d’Œx et saluée par plus de cent convives, l’artiste voit aujourd’hui la richesse de son parcours récompensée.
De plus, le Fonds Rosat-Colin, qui vient en aide aux enfants défavorisés. Et finalement grâce à une double rencontre. «J’ai découvert le Burkina Faso en 2001 et Aminata Diallo dans la foulée, explique Anne Rosat. Elle enseigne à Bobo-Dioulasso et a créé l’association Maïa en 1994,
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